Bonjour,
Je viens de survoler ces trois pages.
Il y a de la rancœur, ceux qui gagnent, et ceux qui ont gagné. Et une autre rancœur: moi je paye donc je dois gagner.
Je passe mon temps à dire que ce jeu est comme la vie: normal il a été développé par de jeunes hommes que j'ai connus et qui eux ont connu toutes les douleurs que la vie peut infliger.
Ce jeu est comme la vie, le meilleur gagne, pas le meilleur pour Saint Pierre, non, soit le plus fort, soit le plus rusé, soit le plus vicieux.
Instaurer trois milles règles par semaines ne changera rien, l'ancien militaire que je suis vous le dira: le règlement est une ******* que chacun ******** à sa façon! Et les avocats le diront: connaitre les lois permet de les utiliser!
Et pour le summum des horreurs dont l'homme est capable, il y a les beaux sentiments de l'ONU, et la réalité du terrain. Pour le jeu c'est pareil.
Une chose qu'on voulait inculquer en créant ce jeu, c'est l'entraide, d'où des vaisseaux complémentaires.
Ce que je vois, c'est des joueurs qui changent de flotte comme de chemise (et j'en ai fait partie) parce que la multiplication des flottes fabrique ce que j'appelle des "monuments aux morts": une liste de noms inertes, pour le souvenir, et deux pauvres connectés qui rament pour agiter le drapeau.
Être amiral ou capitaine ne s'improvise pas, il y a une ambiance d'unité à créer, et entretenir le niveau de sa flotte. Pas uniquement faire du commercial 21° siècle: ramasser un joueur dans la merde, lui filer un coup de pouce en échange de son adhésion, voire d'un paquet de cristaux à la flotte, et ensuite le laisser tomber pour en ramasser un autre.
Ce jeu peut-être gratuit, ou payant, mais il prend du temps. Faire ses missions, recruter, faire ses cristaux, animer des escouades et des conquêtes, PG peut conduire à devenir "no life", plus de vie hors clavier!
A tel point qu'on se demande, vu que le PC ne sert à rien d'autre dans ce cas, si nos disques durs ne peuvent pas servir à des sociétés professionnelles de la redondance du stockage de données.
Mais ça, c'est une autre histoire...